ABSTRACT
L’idée que toute morphogenèse doit son accomplissement harmonieux non seulement à des facteurs positifs, les inductions, mais également à des facteurs négatifs, les actions inhibitrices, est relativement ancienne et très répandue. Elle s’appuie sur des données expérimentales aussi nombreuses que variées, tant dans le domaine de l’embryogenèse que dans celui de la régénération et chez des espèces animales très variées.
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1967
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